Femme,

Qu’importe si tu pleures en quête du chemin

Bâtie d’étoiles et d’eau, tu vogues vers ta quête

Dans les remous des leurres et l’écume des pluies

A l’assaut des déluges tu offres tes blessures

Et tu dérives, errant aux mondes solitaires

Tu espères et tu trembles et tu cherches le gué

Etrange mutation dans les mondes hostiles

Tu regardes la peur jouer avec les ombres

Dans le vent tu écoutes la plainte du violon

Emporter au lointain les couleurs de ce monde

 

Lecrilibriste